COACH EN ÉMOTIONNEL (certifié PTR IMHEB)

RETROUVEZ VOTRE ÉQUILIBRE EN EUTONIE – DESDE LA COMODIDAD DE TU CASA, VUELVE A TU ARMONÍA VITAL

Mons, Hainaut
7000
Cell.: 32596656891
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Présentation de COACH EN ÉMOTIONNEL (certifié PTR IMHEB)

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On sait qu’une émotion contenue se transforme en une manifestation somatique et qu’une altération dans notre corps peut se manifester par des phénomènes psychiques. Les énergies psychiques et physiologiques sont permutables. On peut donc parler d’une énergie vitale combinant l’énergie physique et l’énergie psychique. Jung découvre que, dans l’inconscient, il y a quelque chose de plus que les pulsions individuelles refoulées : des contenus transindividuels.

Devenu conscient des limites de toute la théorie psychanalytique évoluant dans un système culturel judéo-chrétien, Jung a, en effet, étudié la mythologie grecque et latine. Il a pu en déduire que, en chaque esprit humain, il y a non seulement des contenus conscients ou inconscients élaborés par l’expérience personnelle mais que, dans ses profondeurs, il existe des thèmes dont il n’a jamais eu aucune expérience. C’est dire que, sous tout psychisme individuel, il y a un inconscient commun et collectif (les archétypes sexuels et lumières). Le cœur de sa théorie de l’individuation est que l’humain puisse oser vivre ses contraires sans nécessairement chercher à les résoudre.

« Tenir ensemble les choses contradictoires » est la chose la plus noble qu’il puisse faire et « le troisième terme », la transcendance, devient la solution de l’équilibre. « Nous n’avons pas d’autre choix que d’être entièrement nous-mêmes, le reste ne nous appartient pas. » (selon Marie de Hennezel).

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G.Pascal Roucour, coach en émotionnel :

Je suis né en 1950 dans le «Borinage de Van Gogh» (Belgique).  Mon existence et mon épanouissement ont été tronqués par le vampirisme régnant à cette époque, dans cette région (viols et maltraitance).  Après une longue formation en tant que sommelier et dégustateur à l’achat (œnologie),  j’ai exercé différentes activités professionnelles en lien direct avec le public (enseignement et commerce).  Après la rencontre avec mon épouse,  Basque espagnole d’origine (deux enfants et 5 petits-enfants),  je me suis installé à Madrid et je suis devenu traducteur juré. Petit à petit, je me suis mis à l’écriture et j’ai publié plusieurs romans et essais, ainsi que des recueils (poèmes et nouvelles).  Rentré au pays pour traiter une dépression nerveuse clinique, je me suis attaché, durant plusieurs années, à l’étude des traumas et à l’hypnose, sous la direction de professionnels.

L’essentiel de mon analyse sociale  (et donc de mon travail d’auteur) s’attache à la conditions des personnes en homéostasie (Henri Laborit), soit aux individus que le besoin de survie empêche (par dépendance affective, sociale ou morale) de se libérer d’un entourage et /ou d’un conditionnement aliénant ou qui les asservissent. Ceci est particulièrement valable pour les victimes d’inceste et/ou de maltraitances éducatives. Je me suis attaché durant plus de vingt ans à cette cause, travaillant comme militant en coordination avec sept associations de bénévoles (appui juridique, rédaction de documents, accompagnements aux tribunaux, écoute rogérienne, articles, comités de soutien, soutien administratif, etc.)

Mon travail en hypnose ericksonienne se définit dans le cadre du système construit par la pratique de Monsieur Gérald Brassine, en hypnose conversationnelle stratégique, d’après les enseignements qu’il a lui-même reçus à la Milton Erickson Foundation (USA)  et qu’il a synthétisé dans sa méthode, rédigée sous le titre de « Psychothérapie du Trauma Réassociative (PTR) » après avoir ouvert en Belgique, sous licence, le centre IMHEB, Institut Milton Erickson de Belgique (rue de la Grotte, 7, à La Hulpe).  http://www.imheb.be  –  Suivant une demande de la clientèle internationale, mes sessions se font chaque fois davantage via Skype.  Tarifs variables.

Messages des personnes soulagées de leurs difficultés :

« Être libre, c’est ne plus être dans le déni, voir le pourquoi de choses qu’on fait, se faire confiance dans ce qu’on ressent, savoir le pourquoi on le vit ainsi et pouvoir améliorer notre façon d’être et nos actes, savoir s’accepter tels quels, en somme savoir regarder la vérité en face et ne pas la renier ni la refouler en soi, ceci dit, tout ça s’applique dans tous les contextes. Je ne me voile plus la face, j’assume et essaye de corriger mes propres erreurs, au début pas facile d’admettre, après quand on réalise ça va mieux et on commence à mieux s’accepter, et c’est là que en se comprenant on commence véritablement à s’aimer et à s’aider, avancer, se comprendre c’est savoir être soi-même sans se mentir. Être en paix avec soi-même, cela n’a pas de prix, ça aide à avancer dans sa propre vie, c’est, et je le pense très fortement…  une affirmation de soi, une paix intérieur, un bien-être qui aide à avancer. »  27 décembre de 2014 (Mad Amelia Gomez Piñero    Espagne)

« Merci encore une fois à vous : vous savez trouver les bons mots pour nous permettre de nous reconstruire, de nous aimer mais aussi à comprendre tout ce mal être qu’une victime a pu subir ou qui subit encore aujourd’hui… Oui, je vous remercie du plus profond du cœur. » (Mendes 26.02.2013)

« Je crois qu’inconsciemment j’ai fait une partie du travail de reconstruction, certes dans le désordre mais je suis heureuse de t’annoncer que j’ai repris ma vie en main, il y a presque deux semaines, j’ai arrêté de prendre mes antidépresseurs…  Je me fais l’effet de quelqu’un que tout le monde croyait paralysée (et moi aussi) puis soudain capable de se lever et de marcher, c’est miraculeux… Plus de 25 ans d’antidépresseurs derrière moi, j’ai l’impression d’émerger d’un brouillard… » (Val, sept 2013    France)

« Par le travail inestimable que vous avez eu la bonté de bien vouloir réaliser à mon égard, je me permets de vous faire parvenir le condensé de mon histoire, en tant que mère face à l’inceste et toute l’horreur destructrice que cela engendre au sein d’une famille. » (FB janvier 2016    France) 

CASTELLANO :

Milton Hyland Erickson fue un conocido y prestigioso psicoterapeuta e hipnólogo, que se convirtió en todo un referente gracias a su novedosa manera de tratar a sus pacientes de manera totalmente individualizada: primero trataba de comprender cuál era el modo de percibir el mundo, los esquemas mentales y las creencias de la persona y, acto seguido y sin juzgarlas, buscaba a través del relato, el lenguaje no verbal o las sugestiones indirectas, que el paciente hiciese  – por sí mismo-  una reestructuración que solucionase su problema. Algunos de los ejemplos de intervenciones de Milton Erickson, más conocidos y contados por él mismo en diversos relatos, son los siguientes:

El primer caso de intervención terapéutica de Erickson es un caso muy conocido que cita Haley (1997). Una madre acudió a Erickson y le dijo que su hija adolescente se había retirado del mundo y que no podía salir de casa ni ir a la escuela ni a ningún sitio. Tenía la idea de que sus pies eran demasiado grandes y que no debía mostrarlos en ningún lugar. Erickson acudió a la casa y observó que los pies de la niña eran de un tamaño normal. Como médico, le contó que su madre no se encontraba bien y que le hacía una visita a domicilio. Examinó a la madre y entonces le pidió a la hija que le ayudase manteniéndose detrás de él, sosteniendo toallas o cualquier cosa que pudiese necesitar. Con la niña justo detrás de él y dando un paso hacia atrás, la pisó tan fuerte como pudo, hasta que la niña gritara de dolor. Erickson se giró y le dijo agriamente : « si tus pies fueran lo suficientemente grandes como para que un hombre pudiera verlos, no te hubiera pisado ». Continuó examinando a la madre mientras la hija parecía pensativa. Más tarde, la madre le llamó a Erickson y le dijo que su hija le había preguntado si podía salir a ver una película y que, posteriormente, salió. Al día siguiente fue al colegio. El problema estaba superado.

Un segundo caso es el de una joven inhibida que era fóbica a la relación sexual. La hipótesis era que la madre la había asustado con discursos para prevenirla contra el sexo… y siendo ella todavía niña, la madre murió. Erickson hizo regresar a la joven a su infancia, a un tiempo donde la madre le había dado esas advertencias que tanto le habían asustado. Entonces, le habló de cómo las madres advierten de forma que sólo cubren partes de un problema y que ellas mismas, más tarde, ofrecen una enseñanza más completa cuando saben que sus hijas están lo suficientemente maduras para recibirlas y entenderlas. Cuando Erickson llevó a la joven atrás en el tiempo (cuando su madre le asustaba con aquellas advertencias), primero demostró estar de acuerdo con lo que la madre le había dicho. Entonces, discutió con la joven lo que su madre le hubiese dicho acerca del sexo en el futuro, si hubiese vivido. La hija entonces hubiese sido lo suficientemente madura como para hacer juicios correctos en relación con el sexo y su madre le hubiese hablado de aspectos positivos del mismo. Su desafortunada muerte le impidió a la madre poder completar la educación de su hija. Ahora, la joven mujer estaba preparada para aceptar lo que Erickson podía darle: una visión más positiva del sexo que la madre le hubiera dado si la mujer hubiera vivido.

Otro caso lo narra Erickson así: « En una ocasión, un chico vino a verme porque mojaba la cama. Tenía 12 años y medía un metro ochenta, era un chico muy grandote. Sus padres lo acompañaron y me contaron cómo le habían castigado por mojar la cama: lo obligaban a frotarse la cara con las sábanas mojadas, le privaban de postres y no le dejaban ir a jugar con sus amigos. Le regañaban, le zurraban, le hacían lavar su ropa de cama, hacerse la cama de noche y, a partir del mediodía, ya no le dejaban tomar agua. Y, durante 12 años, Joe se fue a acostar todas las noches y mojó la cama todas las noches de esos 12 años. Hasta que, finalmente, sus padres me lo trajeron en la primera semana de enero. Le dije: « Joe, ya eres un chico grande. Quiero oírte decir lo que tengas que decir a tus padres ». Y, a los padres: « Joe es mi paciente y nadie interferirá con mi paciente. Señora, usted va a lavar su ropa de cama sin regañarle ni privarle de nada. No le dirá una palabra acerca de la cama mojada. Señor, usted tampoco le privará de nada ni le castigará. Le tratará como si no mojase la cama, como si fuera un hijo modelo. Le diré a Joe todo lo que tengo que decirle ».

Puse a Joe en trance leve y le dije: « Joe, escúchame. Has mojado la cama durante 12 años, a cualquiera le lleva tiempo aprender a tener la cama seca. En tu caso, está llevando más tiempo de lo habitual. Está bien. Tienes derecho a tomarte tu tiempo para aprender a dejar la cama seca. Estamos en la primera semana de enero. No creo que fuera razonable pedirte que dejaras la cama seca en menos de un mes y febrero es un mes muy corto. No sé si te parece bien empezar a dejar la cama seca a partir del Día de los Inocentes, en abril ». Ahora bien, para un chico de 12 años, entre la primera semana de enero y el día de San Patricio [17 de marzo] o el Día de los Inocentes, en abril, hay un largo, largo tiempo. Así es como lo piensa un niño. Y le dije: « Joe, a nadie le importa si dejas de mojar la cama el día de San Patricio o el Día de los Inocentes. Ni siquiera es cuestión mía. Es un secreto que te pertenece a ti ».

En junio, vino su madre y me dijo: « Joe ha dejado la cama seca ya, no sé desde hace cuánto tiempo. Hoy me di cuenta de que su cama estaba seca todas las mañanas desde hace bastante tiempo ». No sabía decirme cuándo empezó a dejar la cama seca. Yo tampoco. Tal vez fue el día de San Patricio, tal vez el Día de los Inocentes. Es un secreto que sólo Joe conoce. Sus padres no lo supieron hasta junio. »

« Cuando los pacientes se comunican en un nivel, el significado de lo que expresan se hallará en otros niveles: el histórico, el simbólico y otros niveles « psicológicos ». Es mérito de Erickson haber demostrado que, si el paciente puede comunicarse en varios niveles y que también el terapeuta puede hacerlo, la comunicación terapéutica no debe ser forzosamente clara, concisa y directa : la comunicación focalizada en varios niveles a la vez puede ser una técnica poderosa y Erickson la utilizaba magistralmente. Lo hacía mediante anécdotas, relatos, lenguaje no verbal, movimientos a varios niveles, para sugerir una solución a su paciente, en forma directa o indirecta. Las conclusiones extraídas de estas intervenciones ofrecían poco a poco al paciente una perspectiva novedosa o una solución antes pasada por alto. » (Marta Rodríguez Álvarez)