La société dans laquelle on vit toi et moi, nous impose des normes. Sociales, relationnelles, financières. Bref, dans le pays dit « Des Droits de l’Homme », nous sommes aussi libre que des souris de laboratoire.
*VOTONS, C’EST IMPORTANT*
Ainsi, comme on nous l’apprend dans ce formidable moule à cerveaux formatés qu’est l’école, il faut, pour entrer dans la norme :
- Poursuivre ses études
- Trouver un job payé 3 fois moins que ce pourquoi on a étudié
- Prendre un crédit
- Être beau, poli
- Et bien sûr fermer sa gueule
Bref, dès ton plus jeune âge on te met dans une case, on te donne des rôles à jouer.
Tu portes un masque. Et ce même après avoir suivi le schéma scolaire.
Tu es un avocat, un ouvrier, un étudiant.
Tu es identifié à ta profession, ton activité et non pas à ce que tu es réellement. Bienvenue dans le mondialisme.
Dans tout ce circuit sociétal de consommations et d’activités à n’en plus finir, tu t’enterres, te forçant à vivre dans le superficiel. Si tu n’es pas accepté des autres, tu es un fucking marginal qui mérite pas plus que le RSA .
Tu ne te connait plus qu’à travers les masques que la société t’oblige à porter et parfois ceux que tu choisis toi même de porter.
Nous devenons le masque, le masque devient nous, et #TADAAAA l’authenticité devient hypocrisie.
Et c’est souvent lors d’un événement tragique, une perte, une gifle comme celle que La Vie sait si bien donner, que l’on perçoit la dissonance provoquée par l’insatisfaction de celle que l’on mène. *Technique un peu*
C’est à ce moment précis que l’on commence à se poser des questions existentielles :
- Est- la vie que je veux ?
- Suis-je réellement heureux ?
- Qui suis-je vraiment ?
Normalement, t’en sors avec de nouvelles aspirations. L’envie d’être naturel, spontané, AUTHENTIQUE.
*Ce texte pue le vécu*
Tu t’es reconnu ? Alors lis la suite.