Ce que je trouve le plus triste dans la vie, ce ne sont pas les histoires qui ne vont pas bien, mais les histoires qui continuent à mal aller parce que les personnes qui en font partie ne trouvent pas le courage de s’en éjecter.

Vous allez me dire que ce n’est pas toujours évident ou facile.  Et je suis d’accord que, parfois, il y a des raisons qui font qu’on ne peut pas, tout simplement, nous retirer de ces circonstances qui nous tirent vers le bas.  Les enfants en font partie.

Toutefois, il y a aussi toutes ces fois où nous sommes totalement libres de NOUS CHOISIR et nous ne le faisons pas.  Ainsi, pour éviter de trop culpabiliser, nous nous inventons toutes sortes de prétextes pour remettre à plus tard ce qui, finalement, va probablement finir par arriver de toute façon.

Et pendant ce temps, la vie avance et nous perdons de précieux moments à ne pas nous sentir heureux parce que, dans le fond, nous savons que nous nous acharnons à rester dans quelque chose qui comporte peu de chance d’amélioration ou d’évolution.

FAIRE LE GRAND SAUT

Au fond, le plus difficile à faire, c’est de se lancer tout simplement :  Faire le grand saut.  Sortir de cet état d’apathie et de confusion qui nous paralyse sur place.

Pour nous aider en ce sens, nous devons arriver à entretenir un dialogue intérieur qui nous incite à NOUS choisir.  Et nous devons opter pour des actions et des décisions qui nous rapprocheront du bonheur, et ce, en nous éloignant de tout ce qui pourrait nous donner envie de retourner dans la situation médiocre de laquelle nous nous trouvons prisonniers.

Rappelons-nous qu’il y a des gens qui, dans la vie, ont très peu de choix.  Si ça n’est pas notre cas, qu’attendons-nous pour faire tout ce qu’il faut pour changer les choses?

Mieux vaut vivre une grosse peine temporaire que de vivre une peine intermittente, mais permanente.