Relations amoureuses

Citation On ne peut vivre dans la peur et dans l’amour. Ce sont deux états vibratoires incompatibles.

On ne peut vivre dans la peur et dans l’amour. Ce sont deux états vibratoires incompatibles.

Tant qu’on est dans la peur on ne peut reconnaitre et donc connaitre l’amour et même si on rencontre la personne idéale pour vivre une relation magnifique. Le voile généré par nos peurs nous empêche de voir l’être qui se présente tel qu’il est.

Nous le colorons de notre masque de peur et ne le voyons pas tel qu’il est. Il pourrait être Jésus que nous ne verrions qu’un humain ordinaire.

L’Amour nous met dans un état de confiance absolue, aucun doute, aucune peur, aucun jugement, ne subsiste. L’amour efface tout. On ne peut aimer et être aimé qu’à cette condition.

Dés que la peur, la méfiance, la suspicion, le jugement, la comparaison se manifestent, on sort de l’amour et on retombe dans le monde de l’astral ou l’amour vrai ne peut exister.

Quand la guérison est accomplie et que l’amour se présente à notre Porte, il importe de dire oui, d’aller de l’avant, d’accepter l’invitation sans réfléchir, de vivre l’expérience tout en demeurant conscient et si l’attitude de la personne nous montre qu’elle est encore dans un monde de peur, de jugements, de méfiance ou de jalousie , ne pas s’investir davantage.

Seule l’expérience est révélatrice. Dés qu’on anticipe par le mental, on se fait piéger par l’ego qui ne veut pas sortir de sa zone de confort et sa forteresse de justifications et d’argumentations.

Oser franchir le pas, ouvrir son cœur et voir ce qui se présente. C’est cela vivre l’enfant intérieur. On n’attend rien mais on espère tout et il en est ainsi. Tous les possibles s’offrent à nous.

Tant qu’on reste dans la zone de confort mental et émotionnel, on patauge dans la mélasse du passé et d’un futur quasi identique et on ne peut ressentir l’amour. Notre enfant intérieur reste prisonnier de nos projections.

Quand on vit dans le monde de la peur on est néfaste aussi bien à soi-même qu’aux autres. Une mère qui s’inquiète pour ses enfants, projette sur eux ses propres ombres de peur et cela ne leur fait aucun bien et les amène parfois à vivre des expériences douloureuses qu’ils auraient évitées s’il n’y avait pas eu ces projections.

L’EXISTENCE NOUS PROPOSE TROIS SORTES DE RELATIONS

Au sein de cette matrice de dualité, deux possibles s’offrent à nous : le bien ou le mal, l’amour ou la peur, l’ombre ou la lumière.

Le plan astral est subdivisé en trois zones :

-le haut astral, ou Paradis, monde de la Lumière de l’âme, du bien, où se logent tous les talents acquis au long de nos incarnations, et notre Ange gardien qui nous prête assistance. C’est un royaume ou l’amour est roi, où la confiance est absolue, c’est là où notre enfant intérieur aime à s’exprimer.

– l’astral intermédiaire ou Purgatoire. C’est une zone neutre située entre le haut astral et le bas astral. C’est là que nous nous retrouvons lorsque nous souhaitons sortir du bas astral pour entrer dans le monde du haut astral. C’est là que nous faisons nos choix, que nous osons faire un pas en avant pour aller vers l’inconnu en toute confiance, ou que nous faisons un pas en arrière et préférons retourner dans notre zone de confort qui nous enferme dans le passé, les mémoires , les blessures, les traumatismes, les habitudes néfastes et un « connu » qui ne nous apprend plus rien.

C’est dans cette région que nous nous retrouvons lorsque nous passons notre temps à nous projeter dans le passé ou a imaginer le futur possible si nous osons faire un pas en avant. C’est là que nous vivons tous nos conflits entre notre tête qui analyse, projette, compare, se souvient, et notre cœur qui nous impulse à aller de l’avant. L’Ego si complait, car c’est son territoire et face à toute nouvelle expérience qui s’offre à nous il trouve une multitude d’arguments pour nous inciter à faire un pas en arrière. Il s’auto justifie à partir des banques mémoires pré enregistrées en notre cerveau et nos mémoires cellulaires.

– l’astral inférieur ou Enfer. C’est la zone ou le mal (ce qui nous fait mal et fait mal aux autres) prédomine. Région ou notre démon intérieur (ange noir) nous torture, nous enferme dans des préjugés, programmes, tabous, culpabilités, remords, frustrations, refoulements, critiques, dévaluation de soi même et des autres, enfermement dans des croyances religieuses, sociales, ethniques, intellectuelles, culturelles, dans des dogmes qui enferment notre enfant intérieur dans une prison d’interdits et de malaises, de souffrances.

C’est dans cette zone que naissent tous nos maux, nos maladies (mal- a – dit) et nos problèmes existentiels. C’est là que règne en maitre absolu la Peur qui rend méfiant, nous incite à nous protéger, nous rend critique, nous amène à comparer, à rejeter, à se projeter dans des scénarios difficiles, à nous éloigner de l’amour et à briser les ailes de celui-ci. L’Amour ne peut s’épanouir que dans un climat de confiance absolue et ne peut être enfermé, rejeté ou enfermé dans des climats de peur et de méfiance, de suspicion.

Nous aspirons tous à sortir de cette zone inférieure ou le mal prédomine et pour cela la vie nous invite à faire un premier pas en avant, à oser sortir du passé et à passer par la zone de purgatoire.

Le purgatoire n’est pas maléfique en soi, c’est simplement une zone où nous sommes invités à prendre du recul, a percevoir la leçon que l’univers nous à invité à comprendre, à pardonner à ceux qui nous ont maintenu dans cette zone et aussi à nous pardonner à nous-mêmes, afin de fermer une porte sur le passé (le connu) et à oser vivre une nouvelle vie dans une fréquence d’amour et de plénitude.

L’existence nous amène à vivre trois types de relations :

Les relations karmiques (bas astral)
Les relations de guérison (purgatoire)
Les relations d’amour.

RELATIONS KARMIQUES ! L’ENFER

Lorsqu’on entre dans l’incarnation, on se retrouve dans des circonstances, ambiances et scénarios résultant de nos schémas antérieurs, de nos mémoires émotionnelles et mentales cristallisées en nos programmes intérieurs.

L’existence nous met face à face avec certains miroirs pour nous aider à prendre conscience de nos programmations internes et ainsi nous libérer de celles qui nous maintiennent dans la souffrance, la peur, la douleur. La matière astrale sert de miroir réflecteur.

On attire dans notre vie les personnes qui nous servent de « miroirs ». Tous ceux que l’on rencontre (parents, enfants, amis, amours, collègues etc.) sont acteurs dans notre film existentiel parce qu’on les a invités.

Lors de nos face à face il se passe quelque chose au niveau du corps astral, l’autre réveille en nous une mémoire cristallisée en notre corps astral. Cette mémoire peut être agréable et la personne nous attire ou au contraire nous être désagréable et nous avons tendance à rejeter le miroir.

Tout ce qui est inscrit en notre corps astral et qui nous maintient dans le passé (de cette vie ou d’autres vies) doit être évacué, éradiqué, et la vie nous amène sur un plateau d’argent toutes les personnes « miroirs » pour nous aider à faire le ménage.

Il ne suffit pas de savoir qu’on à un karma à régler pour se libérer. Ce n’est que lorsqu’on se trouve confronté à une situation qu’on peut modifier notre comportement et ainsi agir et réagir et démontrer ainsi qui on Est Ici et maintenant.

Dés qu’on réagit on se retrouve dans la trame des vécus antérieurs et au lieu de nous réconcilier avec nos « ennemis » nous créons une nouvelle trame conflictuelle. C’est toujours l’ego qui réagit en argumentant pour défendre sa forteresse de certitudes.

Il est beaucoup plus bénéfique de prendre du recul, de comprendre ce qui arrive, de percevoir l’enseignement révélé par ce miroir, d’en tirer la leçon et d’agir avec sagesse, et effacer le vieux schéma antérieur par un acte de pardon. Petit à petit il importe de délester notre sac mental rempli de certitudes émanant de l’ego.

Ce n’est pas tant une situation en soi qui détermine notre destinée mais c’est notre façon d’agir ou de réagir Ici et maintenant qui définit Ce qu’on Est dans cette réalité d’aujourd’hui. Peu importe ce qu’on à été ou ce qu’on a fait dans le passé, importe ce que l’on établit comme relation aujourd’hui. Cela détermine notre devenir.

Tant qu’une situation n’a pas été comprise, tant qu’on n’a pas perçu la leçon de sagesse que voulait nous enseigner la vie, tant qu’on n’a pas compris que l’extérieur était réflexion de notre cinéma intérieur, tout continue. On reste prisonnier de trames et de relations karmiques de plus en plus enfermantes. On s’englue dans la méfiance, la peur, la critique, le jugement, la dévalorisation de l’autre et de soi.

L’existence, implacable continue alors son travail d’enseignement. Elle nous envoie sans cesse des personnes qui nous renvoient le même miroir et ceci jusqu’à ce qu’on comprenne l’enseignement et qu’on se libère de cette vieille croyance.

Plus de 80 % de nos habitudes de penser et d’agir viennent de nos conditionnements, de formatation collectives et que tant qu’on vit dans cette zone on n’est qu’un robot conditionné par des croyances. On peut être raciste même si on n’a jamais vécu de problémes avec les étrangers mais simplement parce que notre éducation nous à formaté ainsi.

Le bas astral est « enfer- ment » il nous maintient prisonnier des concepts et traditions et religions du passé, la mémoire des ancêtres, les vies passées et dans la souffrance. Ainsi au lieu de tourner un nouveau scénario de film, on continue à tourner des remakes plus ou moins colorisés de nos vieux films antérieurs.

On peut chercher l’amour sans jamais le trouver car il ne peut être vécu dans le monde ou la peur prédomine. L’amour ne connait pas la peur. La peur éloigne l’amour.

Tant qu’on n’a pas nettoyé son ardoise karmique, on revit des scénarios identiques. Le décor et les personnages changent mais l’histoire est la même.

Ainsi une femme qui a vécu une relation difficile avec son père revit les mêmes scénarios avec tous les hommes de sa vie, tant qu’elle n’a pas nettoyé son ardoise mentale et émotionnelle par un pardon. Elle reste ainsi dans une zone de blessures, de souffrances.

Parfois on se demande pourquoi on a vécu tant de souffrances dans notre enfance et on trouve cela injuste et on s’enferme dans cette illusion. On ne peut guérir que le jour où l’on comprend que c’est nous qui avons créé ce scénario de souffrance.

Chacun écrit par ses pensées ses scénarios de vie, puis est projeté sur la scène en tant qu’acteur principal et attire les partenaires destinés à lui donner la réplique. Le Soi organise tout, met tout en scène et le tournage commence.

Tant qu’on écrit des scénarios issus du bas astral, des histoires à faire peur, des histoires de violence, de suspicion, de jalousie, de terreur, de guerres, de catastrophes, de viols, d’histoires d’amour difficiles, on expérimente cela.

Il est intéressant de constater que notre ego nous amène à regarder les films qui correspondent à nos états intérieurs. J’ai rencontré plusieurs femmes qui vivant seules avaient peur d’être agressées par les hommes, ou cambriolées qui se complaisent à regarder les séries télévisées policières dont les scénarios ne sont que meurtres et violence. Sans s’en rendre compte ces personnes nourrissent ainsi leur ego et leur corps astral inférieur.

Les personnes qui sont en manque d’amour regardent des films romantiques en espérant en trouver un qui va bien se terminer. Ceux qui ont peur de l’apocalypse, regardent les films catastrophes etc.

La question que l’on devrait se poser lorsqu’on s’installe dans un fauteuil avant de regarder un film : qu’est ce que ce film va nourrir en nous, quel est la partie de nous qui se délecte de ce scénario. Ceci nous aide petit à petit à sortir de l’enfermement conditionnel suscité par notre ego formaté.

RELATIONS DE GUERISON. LE PURGATOIRE

Ce n’est que lorsqu’on prend un peu de recul qu’ont peut commencer à guérir. On entre dans la phase de guérison psychique. On peut accomplir cette thérapie de guérison sans aucune aide extérieure (c’est relativement difficile mais possible, la méditation et le travail intérieur aide à cela) ou avoir recours à un thérapeute qui nous aide à mieux discerner, à prendre du recul, à comprendre et accepter notre responsabilité et a modifier notre programmation interne.

L’outil utilisé est le « pardon ». Pardonner à nos ennemis c’est aussi dissocier les personnages des rôles qu’on leur à fait jouer. Lorsqu’on se comporte en victime, on oblige nos proches à jouer le rôle de bourreau à leur insu. Ainsi telle personne que l’on considère comme bourreau peut avoir les meilleures intentions du monde, et faire tout ce qu’il peut pour nous aider, on ne verra en lui que le bourreau. Parfois nous choisissons carrément une âme noire qui peut jouer à la perfection le rôle de pervers manipulateur ou pratique une autre forme de torture mentale ou physique

Les thérapies favorisent la guérison psychique mais la guérison n’est pas terminée tant que le corps n’a pas accepté la nouvelle empreinte.

Tout ce qu’on pense (corps mental) génère des émotions (corps astral) qui transforment la biochimie de notre corps (glandes, hormones) et modifie nos mémoires cellulaires (corps vital) et notre corps physique qui est sous direction de notre « moi ».

C’est là tout le secret de l’équilibre masculin féminin qui seul permet la naissance de l’enfant intérieur.

Lorsque notre corps mental (aspect Masculin Père) est nettoyé des vieilles mémoires programmées du passé il envoie l’info au corps astral émotionnel (aspect Féminin Mère) qui s’il est nettoyé des vieux schémas cristallisés émotionnels transfère l’information au corps vital (éthérique – l’Enfant intérieur. Ainsi la guérison s’accomplit. Les informations de notre Soi sont transmises à notre conscient (mental) puis à notre inconscient (émotions) puis à notre subconscient (enfant intérieur – corps vital).

Tant qu’il demeure des scories dans ces corps intermédiaires, la guérison ne s’accomplit pas. Il ne suffit pas de savoir pour transmuter le corps, la tête ne suffit pas, il faut que le cœur et les émotions soient touchées. Et seule l’expérience permet cela.

Le thérapeute peut nous amener à une guérison psychique. Après avoir compris l’origine et le pourquoi de notre blessure on peut pardonner et passer à autre chose, mais la vie nous enverra ensuite la personne destinée à actualiser cette guérison par un acte.

Lorsqu’on subit un grave accident de voiture, il faut reprendre le volant assez vite afin d’éviter de cristalliser le traumatisme ». Cela s’applique aussi aux relations.

Quand on vient de subir une séparation douloureuse, certains amis peuvent nous dire « ne reste pas enfermé chez toi, rencontre quelqu’un d’autre, soigne le mal par le mal » mais souvent le cœur n’y est pas. D’autres nous disent « prends un peu de recul, médite, et laisse le temps effacer les souvenirs ». On peut se demander qui à raison. En fait les deux propositions sont complémentaires.

Il n’est guère conseillé de se lancer dans une nouvelle relation affective si la blessure est encore douloureuse. Il faut prendre un temps de recul, essayer de comprendre ce que la vie voulait nous enseigner, nous révéler comme tendance ou habitude qui nous maintenait dans l’illusion puis passer à l’action pour vérifier si le corps à enregistré le nouveau concept et cela ne peut se faire qu’en vivant une nouvelle relation amoureuse.

Le travail du thérapeute s’arrête à la guérison psychique. Ce n’est pas à lui de passer à l’acte. La personne qui à vécu un traumatisme sexuel ne peut le résoudre par une relation sexuelle avec son thérapeute car cela engendre une dépendance par la suite.

Voyons un exemple :

Une femme a vécu des traumatismes sexuels pendant l’enfance. Cela l’a amené à avoir peur des hommes et sa sexualité s’en est ressentie. Son corps refuse la pénétration. Cela complique ses relations de couple et elle ne finit pas se retrouver seule.

Elle décide alors d’aller voir un thérapeute pour guérir ce problème et après plusieurs séances, elle se sent guérie, allégée, elle à pardonné à son père et aux hommes qui l’ont fait souffrir.
Mais pour vérifier si son corps à bien enregistré l’information il faut qu’elle vive à nouveau une relation avec un homme. Elle à besoin d’une relation de guérison. Lors de la première relation sexuelle avec cet homme, elle pourra ainsi constater si son corps accepte la pénétration et permet une jouissance.

Si au moment de l’acte, elle sent que son corps se rétracte et que toute pénétration s’avère impossible, elle constate alors qu’elle n’est pas guérie
Si son partenaire ne tient pas compte de cela et la pénètre de force, elle souffre et cela réactive le traumatisme d’enfance.

Si son partenaire est plus ouvert et accepte de l’aider à guérir par la douceur et l’amour il peut faciliter la guérison et celle-ci s’actualisera dans le corps.
Pour que cela soit possible, il faut que la femme accepte cette aide et reconnaisse qu’elle n’est pas guérie, cela demande une certaine dose d’humilité. Si elle écoute son cœur, elle accepte l’aide car c’est indispensable à sa libération. Si sa tête domine alors l’ego prend le dessus. Elle rejette l’homme et elle rompt la relation.

Elle se réfugie alors dans une solitude méditative et psychique tout en sachant au fond d’elle-même qu’elle n’est pas guérie. Elle se coupe de toute possibilité de vivre une belle histoire d’amour et dés qu’elle accepte à nouveau de faire d’autres expériences, elle ne vivra que des « relations de guérison » jusqu’au moment où sa guérison étant accomplie elle pourra vivre une relation idéale.

Le processus décrit ci-dessus est valable dans les deux sens. Aussi bien pour l’homme que pour la femme. La vie étant intelligente réunit toujours des partenaires qui s’auto guérissent l’un l’autre.

RELATION D’AMOUR- LE PARADIS

Une fois que la guérison est finalisée, que notre corps est sans blessure, notre Enfant intérieur se réjouit et notre vie change. On exprime alors sa joie de vivre. Notre créativité est inspirée, notre vitalité décuplée, notre enthousiasme nous fait vibrer et on rayonne l’amour.

C’est alors que cette vibration attire le ou la partenaire qui va activer encore davantage ce vortex d’amour. On ne va pas vers l’autre pour combler un manque mais pour partager un trop plein d’amour et le ou la partenaire est aussi dans le même schéma comportemental.

On se trouve alors dans une relation de complicité sur tous les plans. On devient tantrika d’amour et tout nous réjouit. On fait l’amour avec le vent, le soleil, la pluie, un arbre, notre compagnon ou compagne de jeu. Tout est réjouissance et libre partage.

On retrouve l’Etat Edénique. Seule la confiance réciproque et la liberté demeure. Aucune jalousie, peur, méfiance, critique ne demeure. Juste une complétude de deux âmes en parfaite osmose avec elles même et tout l’univers.

On ne peut échapper à ce processus car il s’actualise dans tous les domaines de notre vie : tant qu’on vit dans la peur ; on ne peut connaitre l’amour.

Tant qu’on a peur d’une nouvelle situation ou relation, celle-ci forme un voile qui occulte la vision du cœur et même on rencontre le ou la partenaire idéale, on ne la reconnait pas comme tel. On ne voit ce nouveau partenaire que par le voile de notre peur et toutes les intentions de celui-ci seront mal interprétées et on passe ainsi à côté d’une merveilleuse opportunité. Au lieu de reconnaitre l’autre comme un possible merveilleux, on le projette dans le rôle édicté par notre peur.

Le temps de l’amour vibral est revenu

Il est temps pour l’humanité toute entière de sortir du monde des peurs ancestrales provenant de l’inconscient collectif pour entrer dans ce monde d’amour inconditionnel. Il ne suffit pas de se relier à l’amour Source et projeter un amour inconditionnel sur toutes les formes de vie. Il faut passer à l’acte et entrer en relation avec des partenaires de vie.

Il est encore relativement facile d’aimer les animaux, les végétaux, les arbres, le soleil, mais plus difficile d’aimer les êtres humains qui ne sont pas comme nous, ceux du sexe opposé, ceux qui ne pensent pas comme nous. Pourtant la guérison de l’âme humaine passe par cette réconciliation par les relations humaines aussi bien au niveau mental, émotionnel, psychique que physique.

L’Homme et la femme sont complémentaires. Pour vivre en ce monde il faut l’union des deux. Du Magnétisme féminin et de l’Electricité masculine. Seule cette union génère un vortex électromagnétique permettant la transmutation et l’amour sort alors de son conditionnement.

L’amour n’est ni un sentiment, ni un concept, ni une émotion mais une énergie libre et puissante qui peut transformer le monde.

Quand un homme et une femme s’aiment d’un amour véritable, corps, âme et esprit et vivent un échange d’amour extatique, le Grand ange solaire se réjouit.

Prendre conscience de nos blessures est une nécessité, guérir au niveau psychique en est une autre mais transformer nos corps blessés en corps de gloire par le biais des relations est notre plus grand challenge. Seul cela peut réunifier les humains et faire cesser toute possibilité de guerre, de violence et éradiquer en totalité le monde des peurs.

L’amour peut tout guérir et il faut non seulement en être convaincu mais le démontrer.

Tout Etre qui malgré ses nombreuses blessures guéries croit toujours à l’amour, pense véritablement que l’amour parfait entre un homme et une femme est possible, créé cette réalité et participe ainsi au plan de rédemption.

Il ne suffit pas de prêcher l’amour inconditionnel et universel pour participer au plan de rédemption.

Tout Etre qui ne croit pas possible la relation d’amour entre un homme et une femme créé cette réalité et ainsi affirme que l’amour ne peut triompher. Il participe à un monde ou l’amour ne peut triompher et pense que celui-ci n’est possible que dans les mondes d’unité et autres dimensions. Il trahit ainsi la cause qu’il défend.

Certes nous vivons dans un monde ou la dualité est possible mais notre but est de rétablir l’unité, le juste échange, le juste équilibre et une fois qu’on s’est reconnecté à l’amour Source, il faut oser vivre cet amour divin dans le plan humain.

La compassion ou l’écoute de l’autre ne suffit pas, il faut oser davantage, être un exemple vivant de cet amour possible, de cette réunification interne qui ainsi génère une aura réunificatrice que les autres pourront percevoir.

Quand on est installé dans ce rayonnement d’amour on ne peut avoir peur de quiconque. On peut rencontrer des personnes blessées par l’amour et faciliter leur guérison, on n’a plus à se protéger, on n’a plus peur que l’autre nous enferme ou nous entraine dans une aventure inconnue, on reste le cœur ouvert, spontané et on dit « oui » à tout.

Quand on se trouve confronté à des milieux difficiles on n’est pas perturbé, on n’a pas besoin de s’enfermer pendant des jours dans une grotte ou un lieu fermé pour digérer ou méditer ou pratiquer des incantations pour se protéger. On est spontané et ouvert, on témoigne alors de la puissance de l’Eros libre.

Tous les humains ont été blessés par l’amour et le seul remède pour guérir est l’amour. L’amour humain terrestre est un reflet de l’amour divin céleste. Il peut tout guérir. Il ne suffit plus de croire mais de vivre cela et de ne plus nier les relations de couple.

Vivre en couple d’amour divin ne consiste par à rester collés l’un à l’autre toute la journée mais à vivre librement, à exprimer ses émotions, a vivre de belles relations mais aussi à se retrouver de temps en temps pour une communion d’âme et de corps, se recharger l’un à l’autre comme le faisaient les Atlantes.

Le matin, chaque Atlante vaquait à ses occupations. Les grands Initiés œuvraient avec les vestales, accomplissaient des rituels destinés à maintenir la Flamme de vie émanant du cœur de la Terre monter vers le Soleil.

Le Prince et son épouse étaient garants de cette unité. Ils étaient l’un et l’autre l’incarnation d’une Flamme solaire unique. Tous les soirs, après un rituel d’activation, le couple royal s’unissait par une relation tantrique et parfaite et offraient leur extase au grand ange solaire.

Chaque couple Atlante accomplissait le même rituel d’amour. Ainsi l’homme et la femme se rechargeaient en énergie d’amour et chaque matin chacun accomplissait ce que sa mission de vie lui indiquait.

La chute dans la dualité et la densité à provoqué une rupture. Nous étions ces Atlantes, nous avons vécu une grande période de séparation, de conflits mais il est temps maintenant de nous réconcilier, de recréer ces couples sacrés, de récréer la fraternité.

Chaque âme Atlante aussi individuelle soit elle était reliée à l’âme de l’Humanité, celle de Gaia et chacune œuvrait pour maintenir cette cohésion unitaire. C’est à cela que nous sommes invités aujourd’hui.

Si le travail commence en notre intériorité, en cette réconciliation homme et femme intérieur, il doit s’actualiser dans nos relations entre hommes et femmes et ainsi guérir l’Eros vibral qui à été blessé par cette chute.

Quand notre âme est épousée par l’Eros vibral, l’Unité est rétablie mais ensuite l’âme réanimée doit épouser le corps physique pour le glorifier. C’est la phase ultime. On peut être connecté à l’Amour universel mais tant que notre corps ne ressent pas cette Onde, rien n’est terminé.

L’amour donne des ailes. Quand l’amour est là Eros s’envole à nouveau. Nous nous envolons vers le 7° ciel. La blessure est guérie, tout est réparé. L’humanité se réjouit et Gaia aussi.

Alors n’attendons plus ! Aujourd’hui est le moment idéal. Il n’est plus temps de pleurer sur nos peines ou de nous cristalliser sur nos blessures, tout cela est terminé, encore faut il y croire et agir en ce sens.

Christian Duval Wydyr
http://lagazettedewydyr.over-blog.com/

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