Tu peux tomber. Tu peux t’écraser. Tu peux perdre, échouer, tout rater. Et alors ? Tu crois être le seul ? Tu crois qu’on ne s’est jamais senti humilié, vidé, mis à genoux ? Ceux que tu admires aujourd’hui sont passés par là. Ceux qui inspirent, ceux qui dominent leur domaine, ceux qu’on applaudit… tous. Sauf qu’eux, ils n’ont pas laissé la chute devenir leur identité. Ils l’ont utilisée comme fondation.
Parce que le vrai pouvoir, ce n’est pas de ne jamais flancher. C’est de se relever quand plus personne ne te regarde. Quand il n’y a ni public, ni encouragement, ni tape dans le dos. Juste toi. Toi et ta décision. Tu restes là, à pleurer ton sort ? Ou tu te relèves et tu avances, même si t’as encore du sable dans les yeux et du sang sur les mains ?
Regarde bien autour de toi. Combien de gens restent à terre pour une erreur, une trahison, un échec ? Combien abandonnent leur rêve pour une seule défaite ? Ce ne sont pas les coups qui détruisent, c’est ce que tu fais après les coups. La douleur ne dure qu’un temps. Le renoncement, lui, te colle à la peau. Il t’enchaîne, te définit, te rend amer. Et tu ne veux pas de ça. Pas toi.
Toi, tu veux choisir autrement. Tu veux que cette chute devienne le moment où tout a changé. Pas le moment où tout s’est terminé. Tu veux que ce soit ton point de bascule. Le déclic. Le jour où tu t’es dit : « Maintenant, ça suffit. Je reprends les commandes. » Parce que tout commence là. Pas quand c’est facile. Quand c’est dur. Quand ça tremble sous tes pieds et que t’as deux options : t’écraser ou renaître.