On était lundi matin, 9h. Je m’apprêtais à rentrer au bureau, dans mon cubicule gris, pour travailler dans un emploi que je détestais de plus en plus…
Je sentais que mon âme s’étouffait à petit feu. Mais je n’avais pas d’autre choix! J’avais des factures à payer! J’avais des dettes à rembourser! Je me sentais complètement prisonnier…
C’était sans issue.
Comment ça c’était aussi difficile de trouver un emploi satisfaisant? Un travail où j’ai du plaisir à travailler? Quelque chose de significatif et de nourrissant pour moi? Oui, je pouvais changer d’emploi, mais je l’avais déjà fait tellement souvent! C’était pareil partout!
Un nouvel emploi était excitant pendant 2-3 mois, puis ensuite la routine embarquait. Ça redevenait monotone. Et je recommençais à rêver au prochain emploi qui serait plus agréable.
La prochaine fois, ça serait le «bon»!
Je ne sais pas pourquoi mais, ce matin-là, seulement une heure après être rentré au bureau, la pression intérieure est devenue plus forte que d’habitude.
J’étouffais….
Je manquais d’air!
Je devais sortir!!
Rapidement, je suis allé vers l’ascenseur. J’ai appuyé sur le bouton pour descendre. Les bruits devenaient sourds et distants. Je devais sortir au plus vite! Et je me suis retrouvé là, sur le trottoir. Désorienté. Sans vraiment savoir ce que je faisais là.
En même temps, je sentais une bouffée d’air frais entrer en moi. L’air était frais et il y avait un peu de soleil. Ça me faisait du bien. Je respirais à nouveau.
Par contre, je savais que je ne pouvais plus jamais rentrer dans ce bureau. J’ai pris mon téléphone. J’ai appelé mon patron. Je lui ai dit que je n’allais plus jamais rentrer travailler. En panique, il m’a répondu que ça ne se faisait pas, que je devais donner un pré-avis, qu’on allait me replacer ailleurs dans des tâches qui me convenaient mieux.
Je savais que rien de tout ça n’allait arriver. C’est comme si une force plus grande que moi avait pris la décision. Et il n’y avait pas de retour en arrière.
Étrangement, il y avait une grande paix à l’intérieur de moi. Je savais que ma décision était irrévocable. Déjà, il y avait un peu plus d’espace dans ma poitrine. Je respirais mieux. J’avais même un sentiment de légèreté. Je n’avais aucune idée sur ce qui allait se passer ensuite.
Je ne savais pas comment j’allais payer mes factures. Mais j’étais libre.
Je venais de refuser de retourner dans cette prison déguisée en bureau. Je suis rentré chez moi et je me suis mis à savourer la liberté. Cette journée a été une des plus savoureuses de ma vie.
Le lendemain, la peur a embarqué! Qu’est-ce que j’allais faire? Comment j’allais gagner de l’argent Comment j’allais payer mes factures?
Progressivement, je suis allé chercher de l’aide pour trouver les réponses à mes questions.
Eh oui, finalement, je me suis aussi repris un emploi à temps partiel, pour pouvoir payer les factures.
Mais c’était correct cette fois parce que je savais que c’était mon dernier emploi. C’était l’emploi qui allait me permettre de faire la transition vers ma vie de liberté et de voyages. Ce dernier emploi devenait un outil de propulsion plutôt qu’une prison.
Trois ans plus tard, je vivais entièrement des revenus de mon entreprise.
L’année passée, j’ai pris 3 mois de congé. 3 mois!!!
Et mon plan est de continuer à faire augmenter cette durée pour vivre de plus en plus ma liberté!
L’hiver au froid, je n’aime pas ça. Alors je passe mes hivers en Californie, Nouvelle-Zélande, Thaïlande ou ailleurs. Au cours des dernières années, j’ai voyagé dans 40 pays.
Le plus important pour vivre cette transition, c’est d’être accompagné.
Je réalise que j’aurais pu me sauver beaucoup de questionnements et de doutes si quelqu’un m’avait guidé tout au long de ce processus.
Je prends aussi conscience que la transition aurait été beaucoup plus douce et agréable si j’avais consulté quelqu’un qui était passé par là avant moi.
Alors c’est ça que je t’offre aujourd’hui. Si tu te reconnais dans mon ancienne situation, je veux prendre le temps de t’écouter et de t’offrir des solutions.
Il n’y a aucune raison de continuer à souffrir dans un emploi qui ne te convient pas.
Alors, si tu sens que la situation a assez durée et que tu es prêt à faire le premier pas pour t’en sortir, clique sur ce lien pour prévoir un appel de 30 minutes.