Nous libérer de nos (fausses) croyances

Nous libérer de nos (fausses) croyances

Pourquoi déceler nos  croyances est il si important ?

Parce que, lorsqu’on veut quelque chose, mais que l’on croit (la plupart du temps, malgré nous, sans nous en rendre compte) tout le contraire, la croyance empêche ce que l’on veut de se réaliser.

Une croyance n’est qu’une pensée que l’on cultive durablement
Une croyance n’est qu’une habitude de pensée
Une croyance n’est qu’une pensée que je continue à penser
Ce n’est qu’une pensée que j’ai beaucoup pratiquée
Une croyance n’est qu’une pensée que je cultive beaucoup

Lorsqu’on veut quelque chose en y croyant, il n’y a aucune séparation. On émet un seul signal vibratoire et l’univers nous le procure.

Lorsqu’on veut quelque chose mais que l’on doute, on émet des vibrations contradictoires et on peut rester dans cette posture toute notre vie.

Cela arrive lorsqu’on reste fixé sur la réalité, que l’on regarde ce qui est(Métaphore : le Tabasco sur l’étagère de la cuisine qui existe bel et bien mais que l’on ne veut pas voir tomber dans notre gâteau), on se maintient dans ce schéma vibratoire (une croyance n’est qu’une pensée que l’on cultive durablement). Une croyance n’est qu’une pensée que l’on continue à penser.

Et la seule chose qui nous éloigne de ce qu’on l’on veut, c’est une croyance.

Donc si une croyance n’est qu’une pensée que je cultive durablement, et si je rumine une pensée qui est contraire à ce que je veux, alors la raison qui m’empêche d’obtenir ce que je veux est le fait que ma pensée est en opposition avec mon désir.

Donc si une croyance n’est qu’une pensée que je ne cesse de cultiver, que se passe-t-il quand je rumine une pensée à laquelle je ne crois pas, jusqu’au moment où je finis par y croire ?

Si une croyance n’est qu’une pensée que j’ai longuement cultivée, pourquoi ne pas cultiver une pensée pleine d’espoir ?

Mais nous pensons souvent que les faits s’y opposent.

Autrement dit, on bâti souvent sa vie sur une ou des prémisses erronées en restant fixés sur la réalité et en estimant que cela légitime le fait que nous prêtions attention à des choses indésirables…
En tant qu’être humain, on arbore des tas de croyances improductives, comme « je ne suis pas digne de, on n’a rien sans efforts, c’est la faute de ma mère, c’est la faute du gouvernement … » …
« l’argent ne fait pas le bonheur » qui nous pousserait à nous maintenir pauvre, nous prétextant heureux … Une croyance erronée !

Abraham (« Esther & Jerry Hicks » – le Vortex) disent :

Reprenez votre pouvoir en vous rappelant qu’une croyance n’est qu’une pensée que vous cultivez durablement.
« Une croyance n’est qu’une pensée à laquelle je pense sans cesseJe commence à y croire. Quand je cultive une pensée, cela active une vibration. Et quand la vibration est activée, mon point d’attraction s’en mêle. Donc si je cultive toujours la même pensée, et si je continue à activer ce point d’attraction, et que la loi de l’attraction réagit à cette vibration active, je vais en voir les résultats, non pas parce qu’ils sont vraisni parce que c’est une réalité, mais parce que la Loi de l’attraction réagit constamment à la pensée que je cultive sans cesse »

Nous voulons que vous cultiviez des pensées qui correspondent à ce que vous désirez jusqu’à ce que vous y croyiez.

Mais si vous avez besoin de VOIR avant de CROIRE, vous n’y parviendrez pas.

VOUS DEVEZ CROIRE AVANT DE VOIR !

Vous devez continuer à cultiver une pensée jusqu’à ce que vous y croyiez, et elle se réalisera. Qu’est ce qui vous en empêche ? Les faits, la réalité. Et ? Tout ce que vous voyez, tout ce que vous nommez réalité n’est qu’une pensée coagulée, manifestée, une pensée que quelqu’un a cultivé suffisamment longtemps.

Toute vérité n’est qu’une idée à laquelle une ou plusieurs personnes ont prêté suffisamment d’attention jusqu’à en devenir une pensée à laquelle ils ont pensé et pensé et pensé jusqu’à en attirer l’équivalent.

Il y a dans notre environnement toutes sortes de choses, auxquelles vous croyez, qui sont l’équivalent de ce que vous voulez.

Et il existe également toutes sortes de choses qui, selon vous, défient ce que vous voulez (la cuisine).

Comment les différencier ?
Comment savoir quelles sont les croyances actives en vous qui vous servent bien et celles qui ne vous servent pas ? Comment distinguer les bénéfiques, des nuisibles ?

Vos croyances bénéfiques vous font du bien quand vous les pensez. Les nuisibles vous font du mal quand vous y pensez.

Si des pensées cultivées n’éveillent rien en vous, continuez d’y penser, elles s’amplifieront et vous saurez alors à quoi vous en tenir.
Voici toute la beauté de la Loi de l’Attraction. Au premier stade, vous ne percevez peut être pas la différence entre les bénéfiques et les nuisibles.  Mais plus vous y pensez, plus elle est active, plus elle exerce l’attraction. Plus elle a d’attraction, et plus les résultats sont évidents.Tout se passe comme vous saviez que ce serait le cas. »

Concrètement :

Commencer par se répéter les prémisses données en début.
« Une croyance est une pensée que je cultive durablement. »

Il faut arriver à croire que la croyance en question n’est qu’une pensée que l’on cultive tous les jours, et que l’on s’appuie sur des faits, sur une réalité, une généralité, pour la maintenir.

En pensant à cette croyance, ne cesser de penser « cette croyance n’est qu’une habitude, qu’une pensée que je cultive durablement » tout au long de la journée, dès que l’on pense à la croyance.

Dans la métaphore de la cuisine, nous confectionnons un gâteau. Sur l’étagère au dessus, se trouve du Tabasco, une épice. Il faut faire abstraction de ce qui se trouve sur les étagères et qui pourrait tomber dans notre gâteau… Ne pas penser à l’existence des autres ingrédients, car dans notre réalité, ils n’existent pas.

Ne pas fixer les yeux dessus pour les tenir éloignés.

Etre donc dans sa propre création de réalité : je veux ce gâteau avec CES  ingrédients. Si je fais mon gâteau en me concentrant dessus, je fixe mon gâteau, pas le Tabasco existant sur l’étagère au dessus de moi, qui pourrait tomber dedans. Donc je ne l’attire pas. Il ne tombera pas. Il existe sur l’étagère, mais pas dans ma réalité.

De nombreux exemples existent, qu’ils soient au niveau professionnel, relationnel…
Le travail va consister à s’écouter parler, par rapport aux généralités existantes, et se rendre compte qu’il ne s’agit que de généralités, quelquefois situées dans une ou plusieurs religions, et qui peuvent avoir eu leur utilité dans un temps. « le paradis est réservé aux pauvres »  (par exemple). Le deuxième travail consiste à essayer de trouver des contres exemples. « Untel est aisé dans la vie, il a une belle maison, une belle voiture, il aide les autres, c’est un homme sage, plein de lumière, qui méritera le Paradis »… Faire une liste de ces contre-exemples. Il en existe ! Au plus vous chercherez, au plus vous trouverez ! La loi de l’attraction vous les amènera devant jusque devant vos yeux.
Les contre-exemples vont permettre à la croyance de s’envoler et une autre croyance se mettra alors en place. Vous commencerez à croire « autre chose ». Vous l’attirerez donc.

Note personnelle :
Cibler ses croyances est une étape importante dans son développement personnel. Nous en avons tous, énormément, cachées la plupart du temps. Ce sont elles qui nous empêchent d’avancer. Ce sont ces croyances qui font que la loi de l’attraction « ne fonctionne pas » pour certains, dans certains domaines, car positiver est une chose, mais ressentir, et croire en nos ressentis, en est une autre. Vous serez surpris du résultat.

Nadine Jane  S.

SOURCE : Nous libérer de nos (fausses) croyances par Nadine Jane S.

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Publié dans Développement personnel le

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