Mes 15 livres coups de cœur à dévorer cet été sont originaux et ils vont vous faire voyager l’esprit, le corps et l’âme. Que vous soyez chez vous, au bord de l’océan, à la montagne, dans un autre pays, ces livres devront faire partie de votre valise sans aucun doute. Les thèmes sont variés et on a bien besoin de mettre notre esprit, après cette année complexe, dans une bulle nouvelle de bien-être et de connexion à nos émotions, à nos envies et à notre soif de découverte.
Entre confessions, histoires frissonnantes, parcours de femmes, développement personnel, légendes, contes, témoignages, il y a de quoi, dans cette liste, de faire plaisir à tous les goûts et pour tous les âges.
Je n’ai pas constitué une liste parmi les top 1 des ventes actuelles. J’ai voulu mettre en avant le travail audacieux, risqué d’auteurs de talent ; certains encore inconnus et d’autres dans une voie ascendante.
Il ne faut pas perdre de temps, procurez-vous vite ces œuvres car ces plumes authentiques vont vous emmener aux confins de la littérature nouvelle, permise, libérée ; un monde de mots qui va vous toucher intérieurement et vous ouvrir à de nouveaux horizons.
Livres autoédités, édités dans des maisons d’édition, votre choix sera guidé par le coup de cœur sans aucun doute.
Pour chaque livre, en cliquant sur le titre vous serez dirigé directement vers le lien d’achat.
La littérature, le monde de l’écriture est en train de changer. Les plumes s’expriment, les plumes s’envolent vers des espaces de reliance, de vérité et de réalisation de notre chemin.
Il y a de la place pour tous les auteurs, tous les lecteurs et chacun saura trouver l’écrivain, la plume, le récit qui résonneront avec son histoire, son aspiration du moment.
Ne perdons pas de temps, découvrons ce top des livres à dévorer !
« Tu commences à comprendre peu à peu qu’une équipe de magasin de prêt-à-porter c’est un peu comme une famille, avec la responsable endossant le rôle de la maman et l’adjointe celui du papa (ou l’inverse, peu m’importe) et autant de frères et soeurs que de vendeuses, avec ses règles, ses punitions et récompenses, ses moments de plaisir et de profonde solitude. »
Dans son livre, Gaëlle frôle avec l’impertinence des coulisses d’un magasin. On découvre l’envers du décor, les anecdotes amusantes et troublantes du monde du commerce. C’est croustillant. Dans la posture du client, on ressent les émois de la vendeuse et tout ce qu’elle fait pour finalement faire de ce métier quelque chose d’essentiel et de profondément humain.
Le livre se lit vite et vous ne verrez plus jamais de la même façon nos vendeuses de la même façon ! Son écriture témoin qui s’adresse à nous librement nous emmène dans ses confidences personnelles et on aime qu’elle puisse nous chuchoter tous ces secrets, toutes ces vérités des magasins.
Ce livre est d’une fraîcheur essentielle dans la littérature d’aujourd’hui. Il s’adresse au lecteur et nous met dans sa bulle de confidence. Résultat, vous n’avez plus qu’à inviter cette vendeuse dans un hamac et l’écouter, vous risquez de ne pas vous ennuyer, je vous le garantis !
« Déjà, il faut souligner que les hommes, prévisibles, ont à peu près tous les mêmes fantasmes. Le premier d’entre eux : faire l’amour à trois. A trois, oui, mais pas avec n’importe qui. À trois dont… deux nanas. Surtout pas d’homme. Là, ça ne le ferait pas. (Non, mais chérie, quand c’est avec une autre fille, je ne suis pas jaloux. Et puis, ce sera pour tous les deux.) »
L’auteure Serena Davis effleure la sexualité aux confins d’une féminité tant galvaudée, échaudée, meurtrie par les stéréotypes. Les paroles du vagin des femmes peuvent nous transpercer et nous montrer à quel point l’amour peut tant être blessé. Heureusement, au travers des mots de Serena, on plonge dans ces histoires croustillantes, le sourire aux lèvres et des chaussettes Garfield aux pieds, n’est-ce pas là le gage d’un châtiment réussi de l’amour.
A toutes ces femmes, ces hommes qui se sont retrouvés dans des situations rocambolesques, à tous ceux qui ont cru en l’amour, je n’ai qu’un conseil revoyez vos préliminaires après avoir lu ces confessions.
Serena nous donne envie de découvrir encore plus sa plume. Ses récits sont divers comme ses personnalités. On se noie dans ce dédale de personnages et d’histoires. Alors si vous souhaitez faire un bon pied-de-nez à l’ennui, entrez dans le monde de Serena, vous ne serez pas déçus.
« Gagner de l’argent et oubliez tout le reste, mais… »
Christian, l’auteur nous plonge dans une saga familiale où le pouvoir, la domination les vices de l’argent révèlent combien les traumatismes de l’enfance peuvent laisser des plaies ouvertes.
Charles veut assouvir sa soif de désir de puissance quitte à brûler les ailes de ses propres enfants. L’âme se retrouve dans une lutte sans fin en proie au monde extérieur et intérieur d’un homme oublié, perdu et noyé dans l’économie.
Quelle fin donner à ce thriller familial, Christian en a les mains divines pour l’écrire. Il a le choc des mots dans l’âme et combat l’invincible d’un jeu en échecs et mats quand tout s’écroule autour et qu’il n’y a pas d’autres choix que de renouer avec l’histoire.
Combien de familles ébranlées par les pouvoirs, les manipulations, combien réussissent à sortir de ces pièges machiavéliques, Christian a l’arme facile dans ses mots, son livre est une ode à la restauration des liens même quand tout semble partir loin de nous.
« Merci Laura, merci de m’accepter tel que je suis. »
Amal, auteure au pincement de cœur, nous perce de plein fouet avec ses quatre nouvelles. Hélène, personnage noyée dans une hallucination qui la ramènera dans la cruelle vérité d’un cancer. Le vertige continue avec Maki qui frôle la mort de son existence à cause d’un père qui lui en demande toujours plus jusqu’au moment où les paroles gravées l’effondrent dans le désarroi d’une drogue.
Avec Amal, on se demande si ses mots ont fait partie de son histoire cachée, si tout n’est que mirage un soir où le silence s’est emparé d’elle.
Les perles du Tao, c’est un coup d’envol pour nous tous où chaque battement d’aile ressemble à une prison intérieure jusqu’à ce que tous les murs s’écroulent et permettent au vent de nous faire voler.
C’est la transmission de la foi, de l’amour, de la vie qui reste essentielle. Au travers de ces courtes histoires, vous n’aurez qu’une envie dire à l’auteure : qu’est devenue Madja après avoir pris conscience qu’il faut apprendre à s’écouter quelles que soient les épreuves ?
C’est la quête d’une femme qui s’appelle Aurore. Jusqu’au bout, on est suspendu à son parcours de femme qui sans relâche veut trouver la clé de la porte qui la mènera à son amour Emmanuel.
Viviane nous enivre de sentiments oscillant entre angoisses, peurs et désirs acharnés plongés dans une atmosphère politique.
Les secrets de cette femme se tissent une voie dans ce passé qu’Aurore essaie de fuir.
Elle ira au-devant du tambour battant des épreuves de la vie. Elle rencontrera différents personnages qui lui montreront la main de la providence pour trouver le chemin de l’homme.
Après tout, Viviane l’auteure arrivera certainement dans la grâce de son écriture ciselée à vous faire ressentir les mouvements de l’âme de son personnage pour toucher le ravin de la douleur, de la tension et enfin souffler dans un vent de vérité.
« De leur côté, les Humains comprendront-ils qu’une main tendue peut bien souvent éviter des drames et qu’au milieu de douleurs, le bonheur est parfois à portée de main ? »
Mélodie Ducoeur, l’auteure nous laisse couler des larmes légères pour guérir d’une absence douloureuse, celle d’un enfant. Le deuil, la douleur, la violence sont prônés par des personnages, Dimitri, Théo, deux garçons dans une véritable leçon de vie. Mélodie donne sa main aux chérubins de l’âme et c’est au travers de ses mots qu’une thérapie profondément humaine se réalise. Ces âmes perdues nous glissent des messages d’amour et de liberté pour pouvoir se reconstruire enfin.
La mort nous transporte dans le monde des anges qui éclairent notre cœur quand tout devient sombre.
Ce livre est une ode à la vie lorsque les nuages troublent notre profonde tristesse d’avoir perdu nos enfants d’amour. Ce livre est un roman captivant nous reliant à nos profondes émotions. Il inspire, il dévoile et nous fait comprendre combien la vie peut-être une envolée d’un oiseau qui ne pose jamais ses pattes sinon il meurt.
Mélodie est une auteure au cœur sensible. Ses mots sont nuées de papillons qui pansent nos cœurs meurtries par l’absence d’un être cher. Offrez-vous ce cadeau.
« Elle tourna la tête vers lui et il fût bluffé par la beauté de son regard. »
L’auteure Marie-Laure vacille, on le sent quand elle fait vivre ces deux personnages. Kelly, amazone, appartenant au peuple des arbres, Gordan aux yeux dont la noirceur inquiétante l’attire.
On plonge dans le pays de ce vampire. On croise la lune, les chauves-souris et des mains osseuses.
L’histoire chevauche les gouttelettes de sang car tout ne peut se terminer ainsi.
Rien n’aurait dû se passer ainsi. Pourquoi ?
Il avait l’air si indestructible.
Le clan des Ixxor acceptera-t-il Kelly ?
L’auteure nous fait glisser à l’intérieur d’une histoire d’amour frissonnante, glaciale où les choix seront déterminants.
Vampire, Transylvanie, Ombre, terreur, dons, les deux personnages dans la force de leur amour transformeront leur destin dans une alliance hybride étonnante.
Si vous voulez voyager aux confins d’un monde où l’obscurité et la lumière se livrent une bataille troublante, c’est le livre à se procurer cet été sans aucun doute. Avec Marie-Laure, on se retrouve comme dans un film et c’est assez exceptionnel d’avoir cette impression de lire sous nos yeux tout un synopsis qu’on aimerait voir sur nos écrans.
« Il y a si longtemps, c’est une longue et banale histoire de misère. »
Conte, roman, trame de pièce de théâtre, on ne sait pas trop mais en tous les cas, on est transpercé par le sacerdoce d’une humanité toujours plus en proie à la solitude, la différence, la cruauté. Éric trace le chemin de deux migrants clandestins. Dans une aspiration de rêve pour aller vers un Eldorado lointain, là où les droits des hommes sont écrits partout, les deux hommes tomberont. Ils se débattront telles des souris de laboratoire et on se demandera encore si leur rêve pourra briller dans la nuit.
L’auteur nous chuchote des mots entre les lignes où la liberté frôle inévitablement avec une âme percée qui laisse passer les faisceaux de lumière pour oublier ce qui a tant meurtri ces hommes.
Mais on croit en l’auteur, on le voit partir chapeau sur la tête et on entre dans son histoire comme pour ressusciter un ancien ami et atteindre l’inaccessible de la vie où la tendresse, l’espoir, la liberté font partie de nous.
Une citation de Steinbeck dit : « Soudain, il comprit que la joie et la peine sortent du même creuset. Le courage et la peur aussi ne sont qu’une même chose. »
L’histoire d’Éric est un hommage silencieux à ces prises de conscience où l’humanité est une couleur ressemblant à l’ombre de nous-même emprisonnée tant de fois sur le chemin de notre vie. Dans ce livre, on guette le spectre de la liberté tout simplement.
« C’est la guerre civile qui pointe le bout de son nez dans votre beau pays. »
Anna, le personnage principal fait comme tout le monde : elle va sur les réseaux sociaux. Les likes fusent comme on sait le pratiquer tous, à la dérobée et puis quand cette fois-ci quelqu’un va plus loin avec vous et rentre en communication, comment réagiriez-vous face à l’inconnu ? Le bloquez-vous ou bien laissez-vous l’adrénaline de cette rencontre virtuelle prendre le dessus ?
Adèle a le couteau fin de l’écriture. On va vite à l’intérieur de la plaie de ce fléau de société et on est ébahis par cette plume qui met en avant une héroïne qui va inverser toute la tendance de cette histoire.
Combien de fois, peut-on se tromper face au miroir aux alouettes des réseaux ? Cette histoire est un jeu d’échecs ficelé avec talent. La proie du départ deviendra la maîtresse du jeu. Courage, audace vont piéger les faux-semblants d’humanité et les joueurs piégeurs des réseaux qui font parfois de nous des pantins.
Basée sur des faits réels, la vie de Lins, héros masculin de ce roman, démontre les abus et la corruption du pays, tandis qu’Anna, l’héroïne, se bat pour faire sonner haut et fort le cri de la compassion.
Merci Adèle pour cette authenticité de l’âme, pour cette histoire qui aidera sans aucun doute nombre de personnes perdues dans le flot des faux amours, des pervers du web et surtout prendre conscience que c’est ensemble qu’on est plus forts !
« Je me disais que finalement la vie valait le coup d’être vécue. Je reprenais confiance en moi doucement mais sûrement, et en l’avenir qui me souriait enfin. »
Je viens de terminer ce livre et j’en suis encore toute bouleversée. Catherine a la plume témoin. Ses mots nous transpercent profondément et nous n’avons pas d’autres choix que de prendre de la hauteur pour comprendre notre chemin de résilience.
Manika, une jeune femme indienne d’une quarantaine d’années, a vécu le pire. Deuil, violence, trahisons, la vie ne l’a pas épargnée. Elle a dû faire face à de nombreux défis plus éprouvants les uns que les autres. Sa force de rebondir pour ne pas mourir. Sa foi inébranlable dans la vie est un enseignement merveilleux que nous livre l’auteure au travers de son personnage.
On tremble de souffrance, de douleur et on vibre d’espoir dans la reconstruction de son âme.
Ce chemin de résilience offre un espoir à toutes les femmes qui ont souffert ou qui traversent des périodes difficiles.
Manika nous offre ses blessures et on n’a qu’une envie au fil des pages les recoudre avec du fil doré comme l’art du Kintsugi.
Manika a été la créatrice de son équilibre, de sa reconstruction personnelle. Et comme le dit Boris Cyrulnik : « Tout le monde n’a pas la chance d’avoir eu une enfance malheureuse. »
C’est dans la douleur, les traumatismes que nait la lumière et que brillent les soleils de la nuit.
Merci Catherine pour cette tranche de vie racontée avec tant de fluidité, de sincérité et d’amour.
« Le ressenti de cette première fois était intense, désiré et dès le lendemain durant une bonne semaine en toute discrétion puisqu’elle le souhaitait, nous nous retrouvions furtivement pour l’échange de petits bisous. »
L’auteur Ylan écrit : « On nous convainc que le superflu est important tout comme l’apparence, car il ne reste plus que ça, une fois brisé intérieurement. »
Cette histoire aux accents d’un film tourné entre amis n’a rien d’extraordinaire, de fantastique, de nouveau mais elle a tout dans sa dimension humaine. On la dévore comme un film nous retraçant des échos possibles à notre vie. Nos yeux défilent sur ce « movie life » avec le ventre tendu, dans l’attente d’un nouvel événement. On la comprend d’autant mieux à chaque page quand on ose se retourner sur nos propres pas du passé.
J’ai eu l’immense privilège d’écrire la préface de ce livre qui ne vous laissera pas indifférent. Cet auteur est à découvrir dans toute son ivresse, son euphorie. Le personnage Ylan a vécu et c’est époustouflant de voir sa vie défiler ainsi sans une ombre de regrets. Finalement de quoi sommes-nous faits les uns et les autres ?
D’un parcours initiatique, d’une vie qui nous ressemble profondément où chaque élément, chaque événement, chaque personne sont des déclencheurs de notre propre histoire. Notre vécu devient alors un sacré tournage que nous aimerions écrire comme Ylan Corso l’auteur l’a fait.
« Il s’est passé alors quelque chose d’assez étrange puisqu’elle s’est saisie de ma main pour attraper un stylo posé sur la table basse, là-dedans, dans la Tour, dans ma tête…Mais c’est ma vraie main qui a attrapé ce vrai stylo et qui a commencé à écrire dans la marge du journal, à mesure qu’elle me chuchotait à l’oreille. »
Camille est une auteure émouvante. Au travers de son témoignage intime, on est touché en plein cœur. On laisse alors la magie s’opérer en nous. On avance vers la reconstruction personnelle au travers de ses mots écrits avec tant d’authenticité. C’est une plume remplie de richesse et d’étonnantes prises de conscience pour soi. Les doutes, les douleurs, les traumatismes de l’enfance de cette auteure ont fait d’elle une écrivaine à découvrir absolument.
C’est sa source d’inspiration et on entre dans une histoire thérapeutique pour nous-mêmes.
On se relie à nouveau avec notre monde intérieur, on ouvre son cœur à nos profondes émotions et on devient grâce à son histoire de nouveaux créateurs de notre vie.
C’est une histoire vraie à travers un monde onirique, plongez dans votre Tour intérieure et faîtes en sorte que jamais personne ne puisse à nouveau vous voler les clés.
« Savoir qui nous sommes est extrêmement important pour définir ce que nous voulons et pour prendre conscience de nos valeurs. »
Alex Cormont, love coach nous invite dans son ouvrage de développement personnel à écrire notre légende au travers de trois piliers de construction essentielle :
Qui suis-je ?
Où vais-je ?
Pourquoi ?
Dans ce livre, on est dans l’immédiateté de notre propre action. On est dans l’attraction évidente de notre propre vie qui passe par la confiance en soi, l’identification de nos objectifs de vie et enfin dans le passage à l’action. C’est une véritable méthode où nous devenons les créateurs de notre propre existence.
Le développement personnel peut avoir un déclenchement lié à un coaching et ce qu’offre Alex dans son métier. Au travers de son livre, il nous met en avant dans l’écriture de notre propre destin. Nos rêves intérieurs doivent devenir ceux de notre existence reliant notre profondeur intime avec celle du monde extérieur.
Vous pouvez toujours avoir des rêves au fond de vous et en rester là finalement. Mais si vous voulez changer les choses et si vous êtes prêts à une profonde transformation, c’est le livre concret qu’il vous faut. N’attendez pas de souffrir, identifiez vos valeurs et foncez.
Et comme le dit si bien mon cher Alex : « on va tout déchirer ! »
« Tout a commencé par un rêve avant d’écrire ce livre. »
Parler de son propre livre, ce n’est pas la chose la plus facile. Alors j’ai décidé de vous confier comment ce livre est né. Noyée dans un manque de confiance en moi, j’ai toujours eu plus de facilité à aider les autres que moi-même. J’ai donc été très vite appelée à renforcer mon pouvoir pour mieux exister. C’est au travers de multiples rencontres et notamment celles d’hommes et femmes médecine du monde entier, des chamans comme on peut les appeler, que j’ai découvert ma profondeur et surtout ma propre médecine, celle de l’écriture. Celle que je côtoyais depuis toujours dans mes journaux intimes et textes cachés dans les tiroirs, témoins d’une sensibilité exacerbée et silencieuse face aux autres.
L’écriture, cette ressource intérieure qui m’a éveillée dans ma conscience.
Les 7 rêves de l’amour c’est un voyage aux confins de 7 contes inspirés en écriture intuitive. Je les ai reçus en voyage chamanique. Ils sont un guide pour se reconnecter à l’amour de soi et l’amour pour les autres. Ils vous invitent à créer votre propre rêve de l’amour pour aimer dans une véritable reliance à la vie, dans une authenticité.
Mon livre tend les bras à tous les jeunes de 12 à 18 ans qui découvrent l’amour, qui peuvent en avoir peur et qui manquent cruellement de confiance en eux.
Mes mots sont aussi ceux d’un homme et d ‘une femme qui cherchent encore à comprendre ce qu’est l’amour au fond d’eux.
A tous les rêveurs d’amour et de tendresse, procurez-vous cette vague de tendresse et de confiance en or.
« Le plus grand art est l’art de vivre une vie ordinaire d’une manière extraordinaire. »
Claire a fait de ce proverbe tibétain une évidence pour nous guider sur le chemin de l’émerveillement de soi. Faire de notre personnalité un chemin d’éveil et non une différence. Cultiver son propre culte pour en faire une merveille.
Claire accompagne depuis des années les publics atypiques. Sa mission elle la fait avec amour et dans une constante expérimentation personnelle. Au travers de ses mots, on entre dans ce parcours fabuleux où nos enfants extraordinaires deviennent enfin des êtres acceptés mis en lumière par leur richesse.
Dans son livre, Claire offre les astuces pour apprendre à déculpabiliser, à accepter, à faire confiance et à grandir ensemble. Elle guide les parents dans cette mission d’accompagnement de leurs enfants pour enfin laisser la place dans son livre à des témoignages sensibles et tellement proches de nous.
Reconnaître cette souffrance parfois silencieuse, c’est déjà saisir les clés pour s’épanouir et devenir pleinement qui nous sommes.
Mes 15 livres coups de cœur me transportent encore. Nous avons besoin de vous lecteurs pour faire grandir notre histoire d’écrivain. N’hésitez pas à partager cet article, à parler de ces livres. Faire le pari entre nous que la place est grande pour tous les mots qui résonneront avec les battements de votre cœur. Ne histoire vous parlera à l’instant présent, une autre demain. L’essentiel est de se laisser guider par votre coup de cœur de l’été !