Dépendance affective : libérez vous du sentiment de culpabilité !
Coach, expert contre la dépendance affective, entrepreneur depuis 1993, c’est au travers de différentes techniques d’accompagnement, adaptées à votre situation unique et particulière, que je vous propose de vous aider dans la résolution de vos problématiques. En période de crise ou pour passer à un niveau supérieur dans vos projets, vie professionnelle et vie privée doivent être parfaitement reliées puisque les performances dans chacun de ces pôles sont connectées : le choix de vivre pleinement l’instant présent et d’être heureux décuple aussi les potentiels et les résultats dans tous les domaines.
Le sentiment de culpabilité est semblable au cortisol : la bonne dose de cette hormone est vitale au quotidien pour nous maintenir au top par exemple pour notre le bon fonctionnement de notre appareil locomoteur, pour nous réveiller le matin…. Son excès entraine trop de stress et sur la durée c’est une des causes principales de nombreux déséquilibres et maladies.
Si vous êtes dépendant affectif, la mauvaise culpabilité fait ressentir au plus profond de vous le mal-être en permanence. Connaissez-vous cette « boule au ventre » qui vous incommode sans pouvoir en contrôler les sensations totalement inconfortables ?
Vous éprouvez un sentiment vague de culpabilité, sans pouvoir le relier à une faute précise : à transformer en bonne culpabilité, celle qui correspond à la responsabilité !
Elle porte sur des faits précis et réels, dénoncés par votre conscience : un mensonge, un vol, critiques, jugements, et aussi des paroles humiliantes par exemple…
Et si vous imaginiez que vous rencontriez une personne en colère. Si la dépendance affective et la mauvaise culpabilité gouvernent votre vie, vous allez penser systématiquement que vous y êtes pour quelque chose, vous sentir mal, vous sentir rejeté ou d’autres sentiments difficiles et négatifs suite à la colère de l’autre, n’est-ce pas ?
Ne prenez pas les choses personnellement : cette personne est peut-être dans un mauvais jour et s’en prend à vous et c’est ok.
Peut-être qu’elle se sent blessée, à court de ressources, et en vous rabaissant elle tente maladroitement de se placer au-dessus de vous, mais si vous êtes autonome affectivement, vous pouvez ressentir et pratiquer l’empathie, et vous ouvrir à la possibilité de comprendre ce qui lui arrive.
Vous pourriez dire par exemple : « Je n’aime pas ta colère, mais je suis prêt à comprendre ce qui te met dans cet état. Souhaites-tu en parler ? »
Si la personne refuse ou si vous savez d’avance que cette personne n’est pas ouverte à cela, vous pourriez dire : « Je ne suis pas disposé à supporter ta colère. Lorsque tu seras prêt à en discuter tranquillement, fais-le-moi savoir. Parlons-en dans une semaine… En attendant, je vais m’occuper de ce que j’ai à faire… » et partir sans autre explication.
Soyez assertif ou travaillez pour le devenir ! Avez-vous envie d’adopter un comportement de victime, de passoire ou de tapis sur lequel votre interlocuteur vous souille de ses histoires et autres ressentis noirs qu’il tente de vous transmettre ?
Plutôt que de rester coincé dans un sentiment de colère, de blâme, de peur, de culpabilité ou d’anxiété puissante, vous avez le choix de décider d’adopter une posture « sécure ». Une posture ou votre signature énergétique laisse toute la place et transporte dans le champ quantique l’assertivité que tout le monde peut choisir de pratiquer.
Vous méritez vraiment le respect, comme tout le monde.
Vous avez droit à votre responsabilité affective et à votre autonomie affective si vous le décidez.
Je vous souhaite le meilleur,
François Fortin
Expert contre la dépendance affective
P.S.: J’ai mis en place un court sondage sur la dépendance affective pour vous permettre de me faire part de votre besoin. Cliquez ici pour répondre à ce sondage
