Arrêtez de passer après les autres !

Arrêtez de passer après les autres !

Nous disposons, entre nos deux oreilles, d’un pouvoir dont on ne soupçonne pas l’étendue. Cet organe, dont les scientifiques prétendent qu’il est « le plus grand mystère de l’univers ».

Albert Einstein a dit : « Avec les mathématiques on peut calculer pour aller d’un point A à un point B. Avec notre imagination, on peut aller partout ! »

C’est peu dire. Qu’est-ce que c’est que cet organe ? Le CERVEAU !

Eh bien, on peut le comparer à un ordinateur, un calculateur, un projecteur, un créateur, un transmetteur, un récepteur, un communicateur, un régulateur, et la liste est longue, pour comprendre et analyser la réelle capacité de celui-ci, et de plus le cerveau est TOUT CELA EN MÊME TEMPS.

Prenons simplement les bases : la conception de l’origine à nos jours. Cela démarre par une cellule sensitive qui cherche à vivre, à se reproduire et à se protéger. Ces 3 actions sont à l’origine de notre instinct, de notre survie, de notre instinct de survie. Notre combat intérieur vient de là. Toutes nos cellules n’ont de cesse de renouveler cette formule et cela à la base de toute vie. Naître, croitre et se protéger de la mort. Nous avons à notre disposition cet ensemble merveilleux de cellules qui ne demandent qu’à être utilisées. On peut admettre tout cela, mais il faut aussi en être convaincu. Aussi, je me permets de vous apporter quelques éclaircissements quant à la façon de concevoir l’utilisation de votre outil personnel et surtout personnalisable.

Comment faire cela ?

Observons ce cerveau au travers de son évolution.

À l’origine, nous ne disposions que d’un minimum de cellules cérébrales qui permettaient de contrôler les fondamentaux liés à notre survie. Ces fondamentaux étant la protection de nous-mêmes.

Notre cerveau régit tout notre fonctionnement. Il est la maîtrise de notre corps, de nos pensées, de nos peurs, de nos envies, de nos perceptions et de notre motivation.

Cette évidence a pour but de nous confronter à nous-mêmes. Laisser notre esprit accepter cet état de fait, c’est faire un énorme bond en avant, un pas de géant que vous vous offrez.

L’impact sur notre cerveau.

Tout comme l’on communique avec notre environnement en essayant de le façonner, nous avons « subi » ce façonnement et cela depuis notre naissance, voire même avant celle-ci lorsque nous nagions dans le liquide amniotique à l’intérieur du ventre de notre mère.

Nous percevons très tôt déjà des tas de choses, des sons principalement, mais aussi des sentiments, des sensations, des émotions que notre environnement nous renvoie au travers du corps que nous partageons.

Nous sommes orientés par nos sens depuis le début de notre formation.

Nous sommes une merveille de la nature, et notre évolution qui n’est pas finie, nous le prouve à chaque instant et si l’on s’en donne la peine, que l’on se pose un peu, que l’on s’observe, on ne peut que se rendre à cette évidence : Nous n’utilisons pas tout le potentiel mis à notre disposition.

Nous n’avons pas réussi à régler bien des problèmes dans cette évolution. Nous en sommes toujours à vivre au travers des émotions les plus basiques de notre « animalité » telles que : jalousie, pleurs, paniques, peurs, violences, conflits, etc.

Nous n’avons toujours pas appris à contrôler ces émotions qui nous gardent enfermés dans une forme de « une zone de confort ».

Le schéma devient simple grâce à cet état de fait et cette réalité.

Nous ne sommes pas responsables de tout notre passé.

Il y a 2 grandes parties : la partie imposée liée à notre éducation et la partie construite, liées elle à notre expérience de vie.

La partie imposée est liée à notre premier environnement, le familial, parents, frères et sœurs, grands-parents, oncles et tantes, cousins et cousines, viennent s’ajouter l’école, les ami.e.s et l’adolescence, siège de notre orientation sur des points tels que : l’autonomie, l’orientation, le désir d’exister,  trouver sa place, la rébellion… et tout cela dans un environnement hostile ou agréable mais toujours accès vers une position de « place à prendre » dans la société.

La partie construite quant à elle est à notre charge puisque c’est elle qui détermine l’acceptation du passé imposé, à laquelle on vient greffer notre personnalité pour en faire une structure de vie.

Au regard des faits liés à notre propre réalité, il s’avère que nous ne sommes responsables que d’une partie de notre vécu : la partie construite. J’ajouterais que celle-ci est de plus à ventiler avec une grande partie due à notre éducation.

Que reste-t-il à notre actif ?

J’oserais dire pas grand-chose, et ce pas grand-chose étant lié à nos choix, et nos choix liés à nos bases de vie, cela correspond donc à quelques moments d’égarement de notre part.

Les exemples sont légion qui confirment cet état de fait. Qui n’a pas entendu au moins une fois dans sa vie que la situation d’aujourd’hui est due aux erreurs d’hier ? Qui peut prétendre que les enfants nés après des conflits puissent être tenus pour responsables de ces mêmes conflits ? C’est ce que l’on entend à longueur de journaux télévisés, de reportages et de revues de presse.

Nous sommes aujourd’hui et le passé appartient au passé.

Comment corriger cette situation ?

En adoptant un langage de vérité, basé sur des faits qui VOUS appartiennent, et arrêter, grâce à ce changement, d’alimenter négativement un cerveau qui ne demande qu’à s’exprimer clairement en disposant de ce langage lucide que je vous propose d’apprendre à utiliser pour le bien de vous-même.

Vous devez agir dans ce cadre de vérité qui vous appartient. Vous n’êtes pas responsable individuellement de tous les maux de la planète. Vous n’êtes pas responsable du mal-être de ceux qui vous entourent, pour autant que vous n’ayez pas créé leurs problèmes ou contribuer à l’apparition de leurs problèmes.

Vous n’êtes pas responsable de ce que l’on vous a inculqué par le passé, et vous n’êtes donc peut-être même pas à l’origine de vos premières erreurs de choix.

Ce langage de vérité doit être un outil qui n’appartient qu’à vous et vous seul.e.

C’est l’expression vraie de vous-même, cette expression qui vous ressemble vraiment.

À quoi sert de prendre pour soi la vie des autres ? Ne sommes-nous pas déjà assez chargé.e.s comme cela ?

Le bénéfice du langage de vérité est immense. Il est résolument tourné vers vous, et il ne sert qu’à éclairer une réalité qui est la vôtre.

J’ai beaucoup étudié et observé autour de moi les conséquences de l’envahissement que prend la responsabilité des autres et les dégâts moraux créés pour longtemps.

Ce langage de vérité, au contraire, vient apaiser et réconforter celui ou celle qui l’utilise.

Comment parvient-on à l’utiliser, à en faire un outil performant et cela définitivement ?

Il part d’abord d’une prise de conscience. Ensuite, vient le constat de la réalité, avec pour compléter le tableau, l’acceptation et l’action.

Pour la prise de conscience, pour vous aider à réaliser la situation, un simple questionnaire va vous permettre d’assembler des faits dans votre esprit.

Je vous propose d’y répondre le plus sincèrement et spontanément possible pour cadrer au mieux la suite de l’exercice. Faites-le tranquillement et ne vous posez pas trop de questions.

QUESTIONNAIRE

(Entourez la bonne réponse)

  1. Avez-vous fait partie du tribunal de l’Inquisition ?
    OUI / NON
  2. Avez-vous brisé le Vase de Soissons ?
    OUI / NON
  3. Avez-vous été impliqué dans la guerre 14/18 ?
    OUI / NON
  4. Êtes-vous le soldat inconnu ?
    OUI / NON
  5. Êtes-vous responsable des programmes scolaires ?
    OUI / NON

Si vous aviez besoin d’éclaircissements quant à vos responsabilités, vous voilà fixé.e.s !

Il n’est pas question de minimiser ou d’amplifier des situations auxquelles vous estimez y avoir joué un rôle, surtout pas, car le langage de vérité ne servirait à rien dans ce cas.

Il convient de faire un nettoyage utile de votre passé, mais seulement celui qui vous appartient.

Comment le déterminer ? Si vous cherchez sincèrement et afin de vous aider à ventiler les différents faits, voici une procédure simple et efficace.

Posez-vous ces questions simples :

  • Ai-je décidé ?
  • Ai-je participé à la décision ?
  • Ai-je accepté la décision ?

Ces simples questions sur votre parcours de vie, posées tout au long de ce parcours, accompagné du langage de vérité, vont vous apporter une clarté et une évidence quant à vos responsabilités.

De là, il devient plus facile à aligner les situations auxquelles vous êtes relié.e.s et vous permettre d’accepter ou de refuser la paternité de celles-ci.

Je vous invite à prendre le temps de répondre à ces questions simples, d’y répondre avec la plus grande sincérité, d’y apporter la ou les réponses qui correspondent à la réalité, et de ne noter, au besoin, que les faits et rien que les faits, en évitant de vous prendre les pieds dans des émotions qui viendraient parasiter ce travail de fond.

Le simple fait de vérifier ces responsabilités par le biais du questionnement procure, au début de cette démarche, une difficulté plutôt naturelle à accepter les faits, un tiraillement intérieur lié aux fameuses habitudes prises sur ces bases passées, un mal-être normal car il y a une remise en cause de vérités auxquelles vous avez adhéré à « l’insu de votre plein gré ». Cela va créer en vous des situations de doutes concernant la démarche elle-même, mais rien d’anormal à cela, car tout nettoyage ne peut se passer simplement, il nécessite un effort énorme, une foi en soi et à ce que l’on fait pour soi.

Croire en ce chemin ne devient une évidence que lorsque, dès les réponses aux premières questions, on découvre combien on a été berné.e, promené.e, trahi.e, pas toujours volontairement, pas toujours délibérément, parfois même sans réelle intention de nuire, car cela a été fait en croyant faire bien, en étant convaincus, bien souvent, de vous inculquer des bonnes choses.

Il vous faudra beaucoup d’indulgence dans cette démarche car ce que vous trouverez au gré des réponses à ces questions risque de vous donner le tournis. Vous aurez à effectuer un tri, et à travers celui-ci vous serez amené.e. à découvrir que la réalité que l’on vous a transmise était faussée bien avant ceux qui vous l’ont apprise. Accepter une réalité comme authentique, tout le monde peut se faire avoir, au vu des moyens que certains déploient pour faire avaler cela à la majorité de la population, à coups de pub, de communications décalées de la vérité pour mieux vendre leurs produits.

Nous sommes excusables quand notre décision est prise en tenant compte des appuis scientifiques grassement payés par des lobbies qui ne lésinent devant rien pour faire consommer le plus grand nombre. Les pièges sont nombreux et la chair est faible. Il est vrai que les décisions du passé ont un impact sur le présent, mais au regard des capacités et des intentions malveillantes, ajoutées au « vouloir en être » que tant de gens recherchent, il n’est pas surprenant d’être le jouet de ces grands communicants.

De l’indulgence, il vous en faudra, pour vous-même, lorsque vous constaterez que l’entourage est parfois le premier piège, car empreint de confiance de votre part, certains s’en donnent à cœur joie, et expriment à travers votre « gentillesse », pour ne pas dire naïveté, tous les vices du comportement.

De l’indulgence, il vous en faudra lorsque vous découvrirez combien vos collègues ont tenté et parfois réussi à vous salir, à vous mettre en porte-à-faux, et créer des situations ambigües pour mieux vous nuire, et ainsi, pour qu’ils puissent, eux, récolter les fruits, voire même, ne rien récolter, mais juste pour vous empêcher d’accéder à vos projets, par simple jalousie.

De l’indulgence, il vous en faudra lorsque vous vous rendrez compte que dans votre éducation il y a tellement de manques et d’incohérences qu’il vous arrive de vous questionner sur ce que vous avez réellement appris. Que votre culture générale scolaire a été limitée et que parfois le contenu vous semblait quand même plutôt léger et un peu dirigé. Que l’on étudie que les victoires. Que l’on ne parle que des gagnants. Que l’Histoire ne s’écrive qu’autour des vainqueurs, qu’elle est écrite par ceux-ci et ne laisse aucune place, ni aucune trace, de la population autochtone qui vivait là, bien avant d’être conquise. Que l’on passe sous silence bien des peuplades, comme si elles n’avaient jamais existé, rayées définitivement par des livres écrits, romancés et légendés par les vainqueurs.

« Les chasseurs écrivent l’histoire, pas les lapins. »

Il ne s’agit pas, de jouer les « Caliméro » de base, mais bien de regarder avec intelligence notre origine et d’y lire avec tranquillité les faits, rien que les faits. Je vous invite à profiter de la distance existante avec ces évènements passés pour évaluer ceux-ci et comprendre par la généalogie des faits la répercussion sur votre présent.

On ne peut nier le passé, il a été, mais parce qu’il a été, on peut dire qu’il n’est plus, et ce qu’il sera ne dépend que de ce vous en ferez. Tout vient de votre présent, de la façon de comprendre le chemin originel, et de la lecture que vous en faites. Vous avez en main la carte qui vous mènera là où vous avez envie d’aller, pour autant que la clarté du présent devient évidente, et que vous ayez fait table rase du passé.

On peut considérer que pour mieux développer son avenir, un élan est utile et même recommandé pour se lancer vers son futur.

Cet élan, comme pour un sportif, devient nécessaire pour affronter les étapes à venir puisqu’il vous donne la force et la puissance pour appréhender au mieux les obstacles disséminés sur cette route qui vous attend.

L’image d’un « nouveau départ » a toute sa place dans cette configuration puisqu’elle correspond à cette nouvelle réalité du choix que vous faites. Une relance de vous-même grâce à l’étude pragmatique d’un passé qui est fait de ce que vous avez accepté, décidé et assumé.

Vous avez là le siège de votre intelligence, dans votre boîte crânienne et il ne tient qu’à vous d’en tirer les bienfaits que vous êtes en droit d’attendre, mais il vous faut vous prendre en main, vous faire confiance et agir en cohérence avec vos objectifs.

Je reste à vos côtés, vous pouvez me joindre et me lire via mon site raba.coach. à bientôt.